Octobre Rose :l'importance du bien-être dans la prévention et le combat contre le cancer

Le cancer, et notamment le cancer du sein qui touche une femme sur huit au cours de sa vie, est une épreuve profonde qui bouleverse le corps, le mental, les émotions et la féminité.

De nombreuses études montrent que l’hygiène de vie et les pratiques de bien-être jouent un rôle essentiel, à la fois en prévention et pendant le parcours de soins.

Le bien-être en prévention

Adopter une hygiène de vie équilibrée ne permet pas d’éliminer tous les risques, mais contribue à renforcer nos défenses naturelles et à protéger notre santé. Cela doit d'autant plus prendre de place à l'approche ou avec la ménopause, dont les changements hormonaux affectent l'organisme.

• Bouger régulièrement : l’activité physique diminue l’inflammation, améliore la circulation sanguine et lymphatique, et réduit le risque de rechute après un cancer.
• Une alimentation saine et variée : privilégier les fruits, légumes, fibres, limiter l’alcool et les excès de sucres, aide à réguler le poids et soutient le système immunitaire.
• Gérer son stress : le stress chronique affaiblit l’organisme et le système nerveux ; apprendre à s’accorder des temps de pause, intégrer des pratiques de respiration, de méditation ou de relaxation est un vrai acte de prévention. 
• Se faire du bien régulièrement : écouter son corps, honorer ses besoins, prendre soin de sa féminité et de son bien-être émotionnel est une forme de médecine douce au quotidien.

Prendre soin de soi pendant et après la maladie pour accompagner la guérison : comment le Kobido peut aider

Lorsque le cancer survient, les traitements (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie…) sont parfois très lourds. Ils sauvent la vie, mais laissent aussi le corps et l’esprit fragilisés. Dans ce contexte, les pratiques de bien-être viennent en soutien, en complément des soins médicaux.

Quand les traitements se terminent, il reste souvent un long chemin de reconstruction, tant physique qu’émotionnelle.

Prendre soin de soi devient alors un véritable allié pour :

• Rétablir l’énergie
• Retrouver confiance dans son corps et renouer avec sa féminité
• Accueillir ses émotions et renouer avec le plaisir de vivre.

Le Kobido et d’autres pratiques de relaxation, de respiration ou de méditation peuvent être des outils précieux pour traverser cette étape avec douceur et force. Quand on sait que le mental joue un rôle très important dans la guérison, il est important de cultiver au maximum la pensée positive, la régulation émotionnelle et la gestion du stress.

Le massage du visage Kobido occupe une place particulière dans l'approche thérapeutique d'un cancer féminin. Plus qu’un simple soin esthétique, c’est une pratique douce et non invasive qui agit à plusieurs niveaux :

• Physique et esthétiques : Après des traitements fatigants, la peau est souvent terne et dévitalisée. Le Kobido stimule la circulation sanguine et lymphatique, redonne éclat au teint et détend les traits fatigués.
• Émotionnel : recevoir un toucher doux et enveloppant libère les tensions, diminue le stress, apporte une profonde détente et favorise un retour à soi.
• Identitaire et féminine : il soutient l’estime de soi et aide à se réapproprier son image, à se sentir belle et rayonnante malgré les épreuves et les cicatrices visibles ou invisibles, se sentir à nouveau belle, rayonnante, et à renouer avec sa féminité.
• Énergétique : par ses gestes précis, il favorise une meilleure circulation de l’énergie vitale, soutenant ainsi l’équilibre global.

Important : certains massages sont contre-indiqués pendant les phases de traitement dites “agressives” (chimiothérapie en cours, infections, thromboses, etc.). Le Kobido, étant un massage doux du visage, peut parfois être pratiqué avec l’accord du médecin, mais il est essentiel de demander un avis médical avant toute séance et d'en informer votre facialiste.

Prendre soin de son hygiène de vie, de son mental, de ses émotions et de son corps est un acte d’amour puissant, qui accompagne la médecine allopathique en prévention et  voie complémentaire à une guérison plus globale.